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La première fois

Nos lèvres se détachèrent dans la lumière dorée de ce dimanche matin. Un instant figé dans le loft de Maxime, où flottait l’odeur du café chaud. Il caressa ma joue de son pouce.

Maxime m’avoua qu’il m’avait repéré depuis des mois dans les couloirs de l’école. Qu’il ressentait un désir puissant pour moi. La tension que je ressentais entre nous depuis des semaines était donc réciproque !

Mon cœur battait la chamade dans ma poitrine. Son regard brûlant me pénétrait jusqu’à mon âme. Prise par un élan, je me levais de mon tabouret, me pressant contre son corps, pour l’embrasser. Il s’agissait de bien plus qu’un simple contact physique. Comme si ce moment était une évidence. Nos langues explorant les profondeurs de notre envie commune.

Petit déjeuner brûlant

Maxime me souleva et me déposa sur le comptoir. Le bois froid sur mes cuisses nues contrastait avec la chaleur de mon corps. Sentant ses mains sur mon corps, je décidai de retirer mon t-shirt, dévoilant ainsi mes seins lourds de désir. Il s’enfouit dans mon cou, sa bouche effleurant ma peau de baisers. Sa main agrippant mon sein fermement, tandis que ses lèvres s’attardaient sur le second.

Dans un soupir de satisfaction, mes doigts glissèrent dans ses cheveux. Sa langue titilla mon mamelon durci et sensible. Ce qui eut un effet immédiat au niveau de mon entrejambe.

Nous ne parlions pas, laissant notre corps d’exprimer pour nous. Une étreinte forte et passionnée qui libérait la tension sexuelle qui durait entre nous depuis un moment. Notre respiration semblait en harmonie dans cet échange charnel. Je renversais ma tête en arrière pour savourer chaque sensation de ses mains et de sa bouche sur les courbes de mon corps.

Je pris son visage entre mes mains. Nos yeux brillaient d’excitation. Je plongeai mes lèvres dans les siennes. Je le désirais tellement !

Maxime m’emporta alors vers le canapé.

Il m’installa dans l’angle de celui-ci et entreprit de faire glisser ma culotte le long de mes jambes. Je me trouvais à présent nue devant lui. Son jogging moulant sa forte érection devant mes yeux. Max s’agenouilla devant moi. Nos bouches se retrouvèrent, puis ses lèvres reprirent le chemin de mon corps dans une exploration sensuelle jusqu’à ce que je m’allonge complètement. Pinçant mon téton entre ses dents et ses mains ouvrant mes cuisses.

Sa tête se retrouva finalement entre mes jambes. Il déposa de délicats baisers sur mon mont de Vénus et l’intérieur de mes cuisses. L’air chaud sur mon sexe me fit vibrer. Soudain, sa langue glissa sur mes grandes lèvres de bas en haut me laissant gémir de plaisir et de surprise. Il se mit à me lécher goulûment. Explorant mon sexe comme un mets savoureux.

De ses doigts, il releva le capuchon de mon clitoris pour l’aspirer délicatement, et jouer avec la pointe de sa langue dessus. Je me cambrais sur son canapé, soupirant encore plus. Maxime s’amusa de longues minutes alternant les succions et les coups de langue. Un véritable expert. Je sentais mon clitoris et ma vulve tout entière gorgés de désir. Comme si mon corps réclamait d’en avoir encore plus !

Mon amant dû comprendre le message, car deux de ses doigts glissèrent dans ma fente humide. Les va-et-vient se frottant directement sur mon point G, me faisant gémir encore plus fort ! Sa bouche toujours sur mon sexe et ses doigts s’agitant en moi… Je me laissais emporter …

Je crois que je n’avais encore jamais fait autant de bruit avec un simple cunnilingus…

Ou était-ce parce que le loft se prêtait à cette mélodie du plaisir ? Je me sentais comme privilégiée d’être dans l’antre de Maxime après les révélations qu’il m’avait faites. Il me voulait, il me désirait, et j’avais besoin qu’il me fasse jouir !!

Je ne pensais plus à rien d’autre que le plaisir qui montait en moi. Chaque coup de langue, chaque mouvement de ses doigts. ! Je ne voulais pas qu’il s’arrête. Maxime savait très bien s’y prendre, il jouait avec mon corps repoussant les limites du plaisir ! Mon bassin ondulait plus vite, j’en voulais encore ! Oui, encore plus ! OUI, ENCORE !!! Soudain, dans un gémissement rauque, je jouis fortement, ma main pressant sa tête sur mon sexe bouillonnant pour profiter encore plus de ce qu’il m’offrait. Sentant mon vagin serrer ses doigts enfouis en moi.

Reprenant mes esprits, j’ouvris les yeux et relevais la tête vers Maxime. D’un sourire satisfait, il me partagea que j’avais un très bon goût, ce qui me fit rire. Mais cela m’ouvrit aussi l’appétit ! J’eus très envie de le goûter aussi !

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