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Rencontre clandestine

Maxime et moi avions continué de nous voir pendant nos vacances. Lorsque les cours ont repris, nous avions décidé de ne pas dévoiler notre relation pour le moment. Je n’avais pas revu mes amis depuis notre soirée en boîte, j’appréhendais leur réaction et j’évitais d’être seule avec Louis le plus possible.

Maxime, étant du genre discret, il n’avait pas non plus envie d’étaler sa vie privée. Bien que cela signifiait qu’il gardait son image de Don Juan auprès de toutes les nanas de l’école…

Dans les couloirs de l’école

Cependant, ce secret n’a fait que pimenter nos ardeurs. Chaque fois que l’on se croisait dans un couloir, était un prétexte pour s’effleurer, me rappelant sans cesse la sensation de ses mains sur ma peau nue. Ces pensées avaient pour effet immédiat de faire durcir mes tétons de désir. C’était aussi gênant qu’excitant. Cela alimentait mes fantasmes au cours de mes journées. Une tension sexuelle qui m’habitait jusqu’à nos retrouvailles, toujours intenses.

D’ailleurs, cet après-midi là, alors que je notais le planning de mes cours devant le tableau d’affichage, Maxime se glissa derrière moi. Discrètement, il murmura « Dites donc, c’est que cette jupe me paraît bien trop longue pour porter quelque chose en dessous, il va falloir que je récupère ce qui s’y trouve ». Une bouffée de chaleur m’envahit. Un petit regard en coin m’assura qu’il était bien sérieux.

Un petit bout de tissu en moins

Avec un petit sourire joueur, je me faufilais aux toilettes pour retirer mon string ficelle rouge. La première étape étant la plus simple, je réfléchissais à la manière la plus simple de lui offrir ma lingerie. Finalement, ce ne fut pas difficile, puisqu’en sortant des toilettes, il était là, absorbé dans son téléphone. Ou du moins, il faisait semblant. En passant à proximité, nos mains échangèrent le trophée alors que je me rendais vers l’amphi pour suivre mon cours avec une sensation de fraîcheur à chaque pas.

Pendant le cours, mon portable vibra. Maxime m’envoyait des sms pour me dire qu’il appréciait ce petit bout de dentelle et son odeur. Je sentis mes joues s’enflammer et mon intimité s’humidifier… Il me proposa de le retrouver à sa voiture, tout au fond du parking. Il me tardait de le retrouver à la fin des cours !

Le parking

Je traversais le long parking. Généralement, c’était souvent les retardataires qui avaient la chance de se garer si loin de l’école. J’avoue qu’il n’y avait plus trop de véhicules quand je fus sur place. Je sentais ma vulve déjà gonflée de désir à l’idée de le retrouver !

En l’apercevant, je me faufilai rapidement dans sa voiture. Nos lèvres se trouvèrent pour un long baiser passionné. Je finis par lui dire que notre petit jeu m’avait mis dans tous mes états. Curieux, il glissa sa main entre mes cuisses pour constater de lui-même. Il souria en léchant ses doigts recouverts de cyprine.

Et si nous profitions de l’instant ? Me proposa t’il. Après tout, il n’y avait plus grand monde. Pourquoi attendre ? Nous nous embrassions de nouveau encore plus fougueusement, il retourna jouer de ses doigts dans ma fente, me faisant gémir de plaisir.

D’une main habile, je déboutonnais son jean et glissais ma main dans son boxer Calvin Klein pour caresser son érection.

Alors que la buée envahissait l’habitacle nous offrant plus d’intimité.

Maxime recula son siège, me tendit un préservatif, et libéra un peu plus son membre tendu de son pantalon. Je le suçais rapidement avant d’enfiler la capote sur son sexe. Puis, je grimpais à califourchon pour m’empaler sa verge dure de plaisir, lui laissant échapper un son de contentement.

Max fit glisser les bretelles de mon débardeur pour en faire sortir mes seins, il dégrafa mon soutien-gorge et attrapa à pleines mains mes globes lourds pour les malaxer pendant mes va-et-vient. Me penchant vers l’arrière, il mordilla un de mes tétons me laissant échapper un petit cri. La morsure vive m’excita encore plus et je redoublais d’efforts sur sa queue, frottant la paroi de mon sexe contre le sien.

Il attrapa mon bassin par-dessus ma jupe pour accompagner mes mouvements, laissant ma poitrine rebondir fortement aux coups de butoir de plus en plus intenses. Mes gémissements de plus en plus forts emplissaient la voiture jusqu’à la jouissance où il m’accompagna d’un râle rauque. Essoufflée, je restais contre lui, lui toujours en moi. Rien de mieux qu’un petit coup rapide pour soulager cette tension sexuelle.

Revenant subitement à la réalité, je commençais à m’inquiéter qu’on ai pu nous voir sur le parking….

À suivre…

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À bientôt pour de nouvelles chroniques coquines !