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Un nouveau fantasme

Après ce moment coquin dans la voiture, Maxime m’a raccompagné chez moi. J’ai passé une soirée tranquille, laissant de côté cette sensation d’avoir été observé. Cependant, le lendemain, alors que j’arrivais en cours, une certaine tension était palpable. Mes amies me demandèrent plusieurs fois si j’allais bien, et que je pouvais leur parler. J’avoue que je ne comprenais pas vraiment.

Le secret dévoilé

En sortant de cours, j’allais à la machine à café quand Louis, visiblement contrarié, m’interpella attirant l’attention des curieux autour de nous :

« Alors Emma, on s’adonne à des petites folies sur le parking de l’école ? Après tout, je savais que tu aimais le cul, mais de là à se taper le pervers de l’école, t’es quand même une sacrée trainée ! » dit-il

Des rires et des murmures parcouraient l’assemblée. Je ne savais plus où me mettre, ni quoi répondre, tellement décontenancée par la situation. Louis en profita pour continuer son discours en se pavanant.

La foule se fendit et Maxime arriva à la hauteur de Louis. D’une voix ferme et calme, il déclara : « Emma est ma petite amie. Si ça te pose un problème, on règle ça ensemble, pas besoin d’une petite crise de jalousie minable dans un couloir ».

Louis baissa la tête, la foule se dispersa. Maxime attrapa ma main et s’assura que tout allait bien.

Une visite particulière

La journée finit par se terminer ! Je somnolais sur mes révisions quand la sonnette retentit. Étant seule ce soir, j’allais répondre. Vêtue d’un grand T-shirt long, sur mon shorty en coton Dim, je tirais un peu dessus pour recouvrir un peu plus mes fesses. Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir Maxime et Louis à la porte !!

Me demandant si c’était une mauvaise blague, je les laissais entrer dans l’appartement. C’est là qu’ils m’expliquèrent avoir discuté après les cours. Louis était vraiment désolé de s’être comporté comme un con. Sa jalousie avait pris le dessus. Il m’appréciait beaucoup et il aimait tellement coucher avec moi. Il aurait voulu une dernière fois avec moi. Maxime n’était pas contre ce projet et pourquoi pas même tous les trois ?

Cette conversation était vraiment délirante. Pourtant, je ne sais pas trop pourquoi, j’étais plutôt émoustillée par la perspective de cette expérience ! Maxime se tenait derrière moi, ses mains glissant sur mes bras. « Je pourrais le guider pour qu’il te fasse jouir » souffla t’il dans mon cou.

Le désir stimula mon corps jusqu’à la pointe de mes tétons qui se dressèrent sous mon t-shirt.

Louis s’approcha de moi, ses doigts attrapant mon sein. « Ton corps te trahit, laisse toi aller » dit-il, avant d’attraper mes lèvres avec sa bouche.

Une soirée floue

Ce qui se passa ensuite fut totalement flou… Des baisers, des coups de langue, des mains sur mon corps, me déshabillant. Je fus prise d’un tourbillon de plaisir. Nous avons rejoint ma chambre. Nous étions tous nus, je ne savais plus qui était qui dans la pénombre, me laissant guider par mes ressentis et ce plaisir chavirant.

Tous nus, l’un dans mon dos, son érection contre mes fesses, les lèvres dans mon cou et ses mains sur mes seins, l’autre entre mes jambes, embrassant mon pubis, ses doigts glissant dans ma fente humide.

Je ne sais pas lequel on me fit enfourcher. Je ne sentais que son sexe remplir le mien. Les doigts de l’autre glissant de mon sexe à mes fesses, mouillant cette zone jamais pénétrée jusqu’alors.

« Détends toi, je vais te faire du bien ». Rassurée, je relâchais ma vigilance, et senti un doigt glisser en moi. La sensation n’était pas si désagréable que je le pensais.

Un nouveau plaisir 

L’amant qui me prenait par devant, frotta aussi mon clitoris, je me cambrais encore plus. Le second en profita pour présenter son sexe devant mon petit trou. Et à mon grand étonnement, je l’aspirais très aisément en moi.

Prise en étau entre mes compagnons de soirée, je ne me laissais vriller de plaisir avec leurs mouvements, ondulant en rythme.

J’ai vraiment perdu la notion du temps et de l’espace. Je criais de plaisir et sentant l’orgasme venir, je sentais mes jambes se contracter. Qui était Maxime de Louis, je me rendais compte que je ne voyais même pas leurs visages ? Qu’est-ce que j’étais en train de faire ?? Mais il était trop tard !

Réveil orgasmique 

Quand l’orgasme me saisit, j’ouvris les yeux. Ma main appuyant fortement sur mon clitoris. Je sentais ma vulve gonflée palpitante et humide. Retrouvant la réalité, seule dans mon lit, mon classeur ouvert à côté de moi ! Cette étrange soirée n’était qu’un songe, un pur fruit de mon imaginaire lubrique. Cependant, c’est un peu honteuse que je repensais au plaisir pris. Surtout dans cette zone interdite, qui m’attirait autant qu’elle me faisait peur. Peut-être est ce un fantasme qu’il me faudra découvrir réellement ?

À suivre…

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À bientôt pour de nouvelles chroniques coquines !